lundi 26 octobre 2015

Par delà les murs ....


Par delà les murs  part 1... nouvelle de Saint Molotov ...


la nuit commence à s'endormir, que l'on s'activer déjà , comme chaque matin que dieux fait ...de nos mains et ceux depuis tant d'années l'on pétrit le pain ......


et pourtant se matin me semble bien différent ......

en ouvrant les volets sur le jardin déjà cette impression en voyant cette forme au milieu des fraisiers ....elle me revient sans cesse j'y pense tout le temps...


m'empresse de faire mes corvées.... me concentré sur mes taches quotidiennes ...pour arrivée à celle ou je pourrais allez dans le jardin ...pourvu que je soit la première ...vraiment je me demande ce que cela peu être , pour que j'en soit ainsi perturbé ....l'impression qu'il en est ainsi pour les autres ...il n 'y a peut être pas que moi qui soit ainsi chamboulé dans notre vie monacale......

sa sent fort les fraises comme si je m'étais endormis dans un paquet de Tagada ..mais en moins chimique ...
les yeux reste clos comme un jour de gréve, je somnole longuement m'égare dans les coursives de mon cerveau ...perdu ....

Encore quelque porte...j'y suis ...mon coeur tape fort...je ne sais pourquoi tant de curiosité tant d'émotion ....
C'est peu-être partis...dissipé du jardin ...mais point de mes pensées ...cela reste comme immuable ...à jamais en moi cette sensation étrange .....






Elle est là je la voie de loing ...elle n'a pas bougée , trône au milieu des fraisiers....peut-être....peut-être je devrais prévenir les autres.....
l'on dirais un corps...

une odeur d’encens effleures mes sens ...rassurante et familière...

le son des cloches me ramène à la réalité...peu de temps devant moi ...me hate le pas ...

oui c'est un corps ...je m'en doutais tellement au fond de moi ....il bouge doucement ...

comment a t-il put arrivé ici...là ....passé le haut mur d'enceinte ...pour finir la à dormir au milieu du potagé ....

mes yeux effleures se corps...c'est un ..un homme ....



que fait-il ici chez nous ! ...il a l'aire blésé de l'intérieur...je ne vois pas de sang ...mais d'étrange taches ...que faire...l'heure avance ...je ne pourrais revenir avant plusieurs heures ....

si l'on me voyait se serais la fin...pour nous tous ....

pris de panique je me surprend à le tirer par les bras jusqu'à l'abris de jardin ... il ne bouge pas se laisse faire ...comme un enfant ....il dort ...
sa respiration est douce...
il sent l’encens ..tout son être sent l'encens ..cela émane de lui..il sent notre bonne église...comme c'est étrange ..

en fermant la porte pose sur lui mon tablier pour le caché de la vue des autres ...

je me hâte de retournée parmi les miens ...le souffle court l’esprit remplis d' image ...et le coeur en feu..prés a tout rompre....mais qu est ce qui m'a prit pour agir ainsi ...avec tant d’insouciance...



.................mon corps à bouger comme si on l avais déplacer le vent la quitter ..tout c'est posé sur moi y compris cette douce odeur de fleures enivrante ...j'en voudrais plus m'en rassasiécomme d 'un buffet à volonté ou l'on sait que l'on ne manquera de rien...

c'est comme un baume qui c'est posé sur moi , je ne sais ou je suis mais je suis en paix au calme loing si loing du monde, me semble t il .....



La journée semble interminable , même dans l’effervescence des taches collectives , cet être ne quitte pas mon esprit....les questions abonde en moi ...mais d'ou vient il...pourquoi et comment il est arrivé là ....tant interrogation reste sans réponse....

à chaque bruit je sursaute ...si il était sortit de l 'abris de jardin ...qu arriverais t il !?

19h ... se qui d habitude m’éreinte écrasée par la chaleur et le poids de l'eau....aujourd’hui je me hâte quatre à quatre d'allez au jardin renversant a grande vague l'eau de mes arrosoirs , blottissent contre mon coeur quelques victuailles pris à la cuisine , disimulé au plus prés de moi ...vers quoi je cours ...

tout est calme au jardin , rien ne bouge dans l 'abris ...j’entrouvre la porte, il n'a presque pas bouger , il c'est juste recroqueviller comme un enfant des bras de sa mère , tenant fermement contre lui , mon tablier . Son visage semble calme , ces mains abimées sereine ....

Approchent je sens son souffle ...il sent l'encent ...et les fleures!cela m'enivre ...je reste longuement à coté à l'observé , il semble un peu blaisé comme si il avait vécu longtemps dans les bois ....il a le corps me semble t il plein de dessin incompréhensible , de marque c'est difficile à dire telement il y en as sur le corps, je ne sais vraiment ce que sais , c'est presque beau malgré tout , quant on prend le temps de regardé plus en détaille ... on dirais que sa veut dire quelque chose ...

il est maigre totu de meme... ces pieds saigne par endroit, il est griffé de partout ... mais il semble ne pas souffrir ...la nuit gagne ..je me suis égarée combien de temps ici dans cette cabanne à le contemplé en silence ...je reviendrais demain, je doit partir , retourner pour le dernier moment collectif... vite si elles savaient ...


.......j'ai sentir sa présence , son odeur , et surtout son regard ...me parcourir ...longuement avec douceur et effroi ne sachant que faire ...me reveiller et hurlé ...ou me laisser dormir comme si j'était ...



j ai fain , fain comme aprés une naissance fain de tout ! De la vie ! Combien de temps j'ai dormis ici ? Dans cette paille dorlotté comme un oisillont sans jamais la voir ...la nuit je mange ce que cette douce main temps ...a grosse bouché croque les fruits de son jardin , me rassasie de son pain qui sent bon son coeur ...


Depuis plusieur jours c'est le meme rituel d'un passage le matin pour voir si il est toujours la et a bien manger ... et un le soir pour lui porté quelque vivre ....

il est tard si tard ...la grande soeur ma interpellée quant je suis rentré ...son regard en disait long comme un je sais doux tu viens .... elle me dit ..il est revenu je sais .... je le sent sur toi et en toi ...il est déjà venus ici bas il y as bien lontemps , j était jeune comme toi .... il as des dessins plein le corps ...je sais que tu l'as vue ..tu sent l'encent , tu le sent lui ....

Apeuré , les yeux perdu pétrifié je ne savais que dire partagée entre perdre les miens et le perdre lui ...

elle prit ma main et dit ...cela devait arrivé un jour ou l'autre...il repartira comme il est venus ..et reviendra surement ... qui sait quant ! Il est au jardin ? De la tête je lui montrait la cabane ...lorsque nous arrivâmes à l’abri il essayait de se relever ...avec difficulté ...en nous voyant il nu pas peur , nous sourit juste et tournât la tête vers moi avec un grand sourire ....il baissa la tête vers la grande soeur penaud s’excusant du regard ...

dimanche 4 octobre 2015

tombé à terre .....

.....Avec habitude et grand plaisir on se pose à la terrasse d'un café ......y observe la vie ....
toute les vies plutôt....

car il y en as des tonnes de sortes .... beaucoup plus que de style de culottes chez Etam ...
pourtant il en remplisse des étages de culottes et autres bout de ficelles tous plus jolie les un que les autres....

mais tous oui tous ils finiront par être coincé là ! entre des fesses toute la journée ...

comme dans la vie peut y avoir des surprises ...un moment ou tout glisse ...
tombe à terre pour laissé place à l imprévue ... d'un moment coquin !

car la culotte elle sert bien qu'à cela ...à tendre vers le moment d'imprévue ... à tendre le plus fermement possible ...vers se moment ....

pour finir dans une explosion de transpiration ....

avant de repartir vers le quotidien de la vie ...

Alors que la vie c'est l'imprévue ! la culotte qui glisse ! .....


pour ceux qui en mette pas ...c'est symbolique comme une image...
pas de pas en mettre...
la culotte qui glisse c'est symbolique ...c'est l'imprévue ...la surprise ...

le sourire qu'on connais pas et qui donne du soleil ...
à la grisaille d' un cerveau bitumé par les infos....
sans  importance que l'on s' auto génère....